NOLAN △ live and let die

unless you love your life will flash by

▷ curriculum vitae
NOM ET PRÉNOM(S) :Hawke, Nolan
DATE ET LIEU DE NAISSANCE, ÂGE : 13 aout 1987, à Paris. Il est âgé de 24 ans bientôt.
ORIGINES : Sa famille est américaine et serbe. Son père américain, sa mère serbe.
SITUATION/EMPLOI : Voiturier au Glazed Pine.
GROUPE : Locals
TRAITS DE CARACTÈRE : enjoué – blagueur – motivé – souriant – intelligent – charismatique – extraverti – fier – respectueux – responsable – posé – fasciné – un peu trop franc – impulsif – parfois immature.

▷ loaded gun
Répondez aux questions, merci de développer un minimum les réponses.
QUELLE EST VOTRE RELATION AVEC L'ÎLE ? J’aime cette île. Je ne regrette pas d’avoir quitté Los Angeles pour venir habiter ici, dans un coin tranquille. Certes il y a mieux pour le développement d’un jeune, mais je n’avais pas vraiment envie de devenir quelqu’un dans ce bas monde. J’aime m’amuser, et je trouve que cette île est parfaite pour m’accueillir. D’ailleurs elle le fait déjà depuis des années, et j’en suis satisfait. Il est vrai qu’elle est mon havre de paix, parce que je me suis retrouvé ici dans les pires moments avant d’avoir décidé depuis quatre ans de m’y installer pour de bon, après tout on n’est pas loin des Etats-Unis. Sur cette île je me trouve en accord avec moi-même, finie la tourmente, bonjour le calme et l’amusement.
ET AVEC LE COUPLE DE FUTURS MARIÉS ? Je ne les connais pas pour être honnête. Je les ai surement aperçus une fois ou deux, mais je ne saurais vous dire qui ils sont. Non je déconne, je sais à quoi ils ressemblent étant voiturier de l’hôtel, d’ailleurs j’ai aperçu leurs invités également et ils me paraissent normaux donc on va essayer de s’amuser un peu pour voir s’ils ont de l’humour ou non. Cela dit, je souhaite un beau mariage aux mariés, je n’y suis pas convié et je ne pourrais même pas le voir à la télé comme pour Kate et William ce n’est pas retransmis. En tout cas je ferais en sorte que ça se passe bien du moins pour ma part de boulot, car je ne suis qu’un simple voiturier. J’espère que ce suicide ne les effraiera pas trop…
ETES-VOUS AU COURANT DU TRAGIQUE PASSÉ DE L'ÎLE ? Un peu que j’en suis au courant ! J’ai été interrogé à cause de mon propre passé. J’ai commis un homicide involontaire en voiture il y a quelques années et j’ai tué un petit garçon sur le coup. J’étais saoul, et j’ai donc écopé d’un retrait de permis. Si ce n’était que ça… Les parents du garçon ont porté plainte et j’ai été jugé. J’ai pris trois ans de prison, mais je suis sorti au bout de un an et demi pour bonne conduite. Et je suis ensuite venu reprendre des vacances ici, et j’ai appris pour les meurtres. Comme l’enquête a duré un moment j’ai été interrogé, mais évidemment à l’époque je ne vivais pas ici j’ai donc vite était écarté. Mais c’est ainsi que j’ai appris ce qu’il s’était passé. Ca ne m’effraie pas pour être honnête car je n’ai rien à me reprocher, je pense qu’il s’agit d’un règlement de compte, et si l’on sait quelque chose on est vite rayé de la carte, comme cette pauvre Paige. Moi je n’ai de problèmes avec personne, j’ai purgé ma peine.
QUE PENSEZ-VOUS DU 'SUICIDE' DE PAIGE HAMPFIELD ? Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un suicide. Pour moi c’est évident, du peu que j’en ai vu, cette fille, bien que selon ce que disent les autres elle en parlait, n’aurait jamais eu le cran ou la faiblesse – à vous de voir – de se suicider. Elle était trop fière pour ça. Il s’agit d’un meurtre, sans aucun doute. En plus pourquoi les pages de son journal manquerait à l’appel ? Oui elle aurait pu les brûler car elle avait peur qu’on les lise, mais ça n’a aucun sens, on n’écrit pas des révélations dans un journal avant de se suicider. Quelqu’un lui en voulait, et je ne soupçonnerais que des gens qui étaient à l’hôtel ou en ville il y a déjà six ans, et non les pauvres gens qui ne savent pas ce qu’il se trame. Je pense que l’affaire est liée à celle du Talbot Tree.

QUELLE EST VOTRE PHOBIE ? Je suis claustrophobe. J’ai peur des endroits clos. Avant ce n’était pas le cas, mais ça s’est développé en prison. Allez savoir pourquoi, mais du coup j’évite de prendre les ascenseurs même si c’est pour porter des bagages, j’y vais à pied. J’ouvre toujours les fenêtres des voitures sauf quand il pleut, et j’essaye de me contrôler dans n’importe quelle pièce close. C’est je crois ma plus grande phobie, sinon je n’en ai pas vraiment.


▷ underneath
PSEUDO/PRÉNOM : S.
ÂGE, SEXE : 20 ans, M
OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? C’est Sierra qui m’en a parlé !
AVATAR : Novak Djokovic
COMMENTAIRE : Le forum gère !

Sept ans plus tôt...« Nolan Hawke, je vous condamne pour homicide involontaire engendrant la mort de Kyle McKenna a 3 ans de prison. » La sentence avait été prononcée. 3 ans de prison. Ca semblait dérisoire à l’oreille du couple McKenna qui venait de perdre leur enfant de huit ans parce que ce jeune irresponsable de seize ans était saoul au volant. Nolan était partagé. C’était certes peu comparé à ce qu’il aurait pu prendre, et comparé à l’enlèvement d’une vie, mais c’était quand même trois ans de prison, à seize ans, ça marquait forcément les esprits. Ce jour-là, plus que de se prendre la tête dans ses mains, Nolan pleura. Sa famille ne comprenait pas pourquoi cette histoire en était arrivée là. C’était involontaire, tout le monde le savait, mais la famille avait décidé de porter plainte, peut-être pour le rendre encore plus coupable de ce qu’il était. En même temps, il n’avait jamais plaidé non-coupable, ce qui lui avait permis d’obtenir une légère peine comparé à ce qui avait été demandé.

Alors qu’il rentrait pour la première fois dans sa cellule qu’il partageait avec un gars qui avait l’air un peu taré sur les bords, Nolan se souvint de cette fameuse nuit. Après avoir passé quelques heures en compagnie de ses amis à déconner et à boire autour d’une console de jeu et de pizzas, il était rentré en voiture. Grossière erreur. Pour lui pas de souci, il connaissait la route qui le mènerait jusqu’à chez lui, il ne se tromperait pas. Mais le sort en avait décidé autrement. Il pleuvait, et même si les essuie-glaces fonctionnaient parfaitement, c’était difficile d’anticiper quoi que ce soit. Et les travaux n’aidaient pas. Du gravier qui fit chasser la voiture, et il braqua dans l’autre sens pour se stabiliser, et puis ce fut le choc. Les yeux écarquillés, ne comprenant pas trop, il avait pilé du mieux qu’il pouvait, mais un gamin avait traversé à ce moment-là, le feu indiquant parfaitement que le piéton avait le droit de traverser. Plus que choqué, Nolan resta quelque secondes à regarder le corps gésir sous la pluie battante, avant de sortir rapidement, pour constater les dégâts. Il s’accroupit près de l’enfant. « Je t’en supplie petit, dis-moi que ça va… » pleurnicha-t-il. Mais l’enfant semblait inconscient, et de multiples blessures couvraient son corps. Certaines personnes affluaient : « S’il vous plait j’ai besoin d’aide ! Appelez-une ambulance quelque chose, vite… » Et comme si le gamin pouvait l’entendre, il lui dit : « Tu vas voir, ça va aller…tu vas t’en sortir, je suis désolé, j’ai pas fait exprès, je… » Mais il constata que le gamin ne respirait plus. Alors il le serra contre lui et comprit que ce serait le début des emmerdes.

Il n’avait pas eu tort ce jour-là. Les parents qui n’avaient pas été sur les lieux de l’accident avaient porté plainte, criaient à l’assassin. Il ne parvenait même pas à leur en vouloir de se retrouver derrière les barreaux avec un fou-furieux, le petit Kyle avait la vie devant lui et elle fut gâchée, happé par un automobiliste stupide qui avait pris le volant saoul. « T’as fait quoi toi mec ? » lui demanda le prisonnier qui partageait sa cellule. Il répondit désinvolte : « Tué un gamin dans un accident de voiture. » L’autre lui fila une accolade. « Oh c’est involontaire ! Moi j’ai tué mes grands-parents mais c’était voulu. Si tu te comportes bien tu pourras sortir bientôt. T’as pris combien ? » Assis sur son lit Nolan aurait préféré qu’il le laisse tranquille, mais l’autre en avait décidé autrement. « 3 ans. » Il ne renvoyait pas la question, mais le taulard ne s’en formalisa pas. « Oh bah mon gars tu seras sorti bien avant, t’as pas l’air d’un méchant garçon. J’ai pris 20 ans moi, et ça fait déjà 10 ans que je suis là. » Nolan se releva tout de suite et écarquilla les yeux. « 10 ans ? Mais tu as quel âge ? Et tu vas pas sortir avant toi ? » L’autre type éclata de rire : « J’ai 30 ans. Et non je sortirais pas avant parce que je suis pas un ange, ici faut pas l’être si tu veux t’en sortir, sinon tu peux crever avant. Il va falloir que tu te méfies de certaines personnes, mais t’inquiètes pas je te protègerais. Au fait moi c’est Thomas. » Ils se serrèrent la main, et même si Nolan n’était pas rassuré, il répondit : « Nolan. » Un gamin de seize ans en taule. Ce petit détour fut formateur, il apprit à cerner les gens plus vite, il apprit à se protéger aussi, et que le soutien amical était très important. Quand il sortit de prison, il promit à Thomas de venir le voir une fois par mois et de lui porter un tas de trucs, pour le remercier, pour remercier un ami, un vrai.

3 ans plus tôt…
C’est avec des ‘on dit’ qu’on finit par croire n’importe quoi. Nolan était du genre adepte de ces choses. Il ne croyait personne sans avoir vu. Il avait besoin de vérifier, toujours. Et ce que ses amis pensaient de la nouvelle bibliothécaire en ville n’échappait pas à la règle. Selon ce qu’ils en avaient dit, c’était une bombe. Une belle brune et Nolan devait absolument voir à quoi elle ressemblait. Même si ça devait faire des années qu’il n’avait pas touché à un bouquin. Il n’était même pas sûr d’être déjà rentré dans cette bibliothèque. Il y a un début à tout. Mais en plus, ils avaient raison. La nouvelle bibliothécaire était sublime. Elle avait un truc différent des autres. Il était rentré dans la bibliothèque, faisant mine de se diriger vers un étalage, alors qu’il l’observait du coin de l’œil. Elle calée en livres ? Il n’en croyait pas un mot. Il en sourit d’ailleurs, avant de constater le titre du livre qu’il venait de saisir : ‘les verrues comment s’en débarrasser.’ Ahem. Il le reposa tout de suite, changeant de rayon. Le rayon des romans policiers voilà qui était mieux. Elle paraissait occupée, mais pas vraiment occupée par son boulot, alors il sortit du rayon pour venir à sa rencontre : « Excusez-moi, je cherche un livre spécifique mais je n’ai pas l’impression que vous l’ayez. » Ce qui était faux évidemment. Si elle lui demandait, il allait certainement sortir une connerie : « Eh bien cherchez mieux, il devrait y être. » répondit-elle sans lever le nez, continuant sa lecture d’un magazine. Alors en se moquant légèrement il rétorqua : « Vous ne demandez même pas le titre du bouquin, vous êtes vraiment une drôle de bibliothécaire. Il est bien votre livre ? » C’est à ce moment-là qu’elle leva la tête pour lui balancer une réplique terrible, mais les mots ne sortirent pas de sa bouche, elle demanda donc : « Comment il s’appelle votre livre ? » fermant sa lecture s’intéressant soudainement plus au jeune homme. Il en rit d’ailleurs et s’approcha d’elle pour lui murmurer : « Il s’appelle : est-ce que mademoiselle voudrait aller boire un verre. » Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il était direct. Elle le regarda d’un drôle d’air : « Vous avez raison, je ne crois pas qu’on ait ce livre ici. » Il arqua un sourcil mais ne s’en formalisa pas : « Vraiment ?! Alors vous pourriez peut-être le commander comme le font les librairies ? » Elle éclata de rire : « C’est pas une librairie ici. » N’allait-elle donc pas accepter sa proposition ? Alors il employa les grands moyens : « Très bien alors je vais voir si à la librairie ils ont mon livre. » Et avant qu’il puisse s’en aller, elle lui sourit sincèrement et lui dit : « Par contre pour le verre je ne suis pas contre. » Comme quoi il suffit de leur paraitre moins accro pour que ça marche. A moins qu’elle ait cru qu’une libraire lui passerait devant. C’était une pensée stupide.

Un verre et puis deux, et puis trois et ainsi de suite. La jeune femme avait la descente de verres facile. Mais elle était loin d’être une fille facile. Elle n’avait cessé de parler de son petit-ami pendant un moment, ce qui avait presque poussé Nolan à la ramener chez elle pour éviter les problèmes. Il s’embarquait dans une tâche hardie. Mais elle avait fini par céder et ils s’étaient retrouvés dans sa voiture pour une prolongation de soirée qui avait peut-être bien tourné pour lui, mais pas pour elle. Après s’être embrassés une première fois non loin de chez elle, alors qu’il la ramenait, elle s’était exclamée : « Non je ne devrais pas. » Se détachant de lui, elle dit : « Je ferais mieux d’y aller, je peux pas. » Pourtant ce n’était pas ce que son corps réclamait car elle se jeta de nouveau sur lui, l’embrassant à pleine bouche avant de le repousser : « C’est pas bien, c’est pas bien ! » répétait-elle. Ca faisait rire Nolan, elle ne pouvait résister, c’était drôle. « Promets-moi que tu ne diras rien, et que tu ne chercheras pas à me revoir. » Tiens, elle finissait par faire un choix on dirait. « Promis. » Alors elle s’assit à califourchon sur lui, l’embrassant de plus belle, et la voiture de Nolan fut le théâtre de leurs premiers ébats endiablés, dans une passion acharnée d’une rencontre un peu forcée, mais dont le fruit de la tentation était irrésistible. Ils étaient saouls, on pouvait les pardonner. Personne ne les avait surpris là dans le noir à une heure avancée de la nuit, et heureusement pour eux. La voiture tout embuée, ils avaient repris leurs esprits, après avoir repris un rythme cardiaque normal. « Nolan, t’es qu’un connard. » C’est ce qu’elle lui fit savoir. Mais elle ne put s’empêcher de déposer sa tête au creux de son cou. « Je décline toute responsabilité. » Ce qui ne plut pas à la jeune fille qui se releva : « Et si mon copain l’apprend hein ? Je fais quoi moi ? » Il haussa les épaules : « Tu l’as dit toi-même, c’est qu’une fois, je ne dirais rien. » En vue de comment ils se comportaient l’un et l’autre, ça n’avait rien d’une seule fois. Elle se revêtit et fit en sorte de paraitre normale, avant de sortir de la voiture et de lui dire : « Merci de m’avoir ramenée. » Et elle s’en alla rapidement, histoire de vite rentrer chez elle pensant au mensonge qu’elle allait pouvoir inventer. Quant à lui, il démarra la voiture, et il remarqua au creux de sa main, le numéro de Sierra qu’elle avait dû marquer un peu plus tôt dans la soirée. Définitivement, ils allaient se revoir.

Spoiler:

DOU

Nolan Hawke a écrit:

Ton avatar il est orgasmiqueeeeeeee!

C'est l'avatar spécial Nolan.